Les differents principes comptables

La gestion  se base sur plusieurs code et principes à appliquer, valable pour chaque branche. Pour la comptabilité, les sociétés sont tenues d’appliquer dix principes comptables. Ils sont importants parce qu’ils permettent d’atteindre l’ultime but de la comptabilité : transmettre des données financières et économiques fiables, aux personnes lisant les comptes.  

Définition 

 

Ces théories permettent de donner des information comptables cohérentes et crédibles. Les personnels du service comptable d’une société doivent les appliquer afin d’élaborer les comptes annuels. La régularité, l’honnêteté et l’exactitude de ses comptes sont également exigées. En effet, l’expert doit les concorder parfaitement avec le patrimoine, le resultat et l’état financier d’une société. 

  

 

Pour quelle utilisation ? 

 

Elles rendent les données transparentes grâce à l’utilisation des formats spécifiques, valables pour les bilans, les comptes, et d’autres documents comptables. 

En d’autres mots, ces théories permettent d’établir des standards de communication au sein des entreprises, notamment pour les documents financiers. La déposition des comptes sera toujours identique qu’elle soit effectuée par un artisan local ou un multinational. 

De plus, ces théories sont constantes. Elles ne subissent pas une modification régulière. 

 

Les 10 théories comptables 

 

Comme il a été mentionné auparavant, 10 théories doivent être appliquées par toutes les sociétés exploitant dans le territoire français. 

Théorie n°1 : la pérennité de l’exploitation

L’élaboration des bilans se fait dans la perspective d’une continuite exploitation même si un exercice arrive à sa fin. Les amortissements sont enregistrés sur nombreuses années et les coûts seront répartis sur des exercices successifs.   

Théorie n°2 : l’exercice comptable indépendant

L’exercice d’exploitation est limité pour une année. À la date de fermeture, un compte annuel est établi. Tous les actes comptables sont rattachés à leur année d’exécution. 

 

Théorie n°3 : les valeurs historiques

On enregistre les actifs de la société en prenant les couts pour laquelle ils sont acquis. Pour les éléments obtenus gratuitement, on fait une estimation de coût pour déterminer leur valeur. L’augmentation des valeurs n’est pas enregistrée. Toutefois, la dépréciation est comptabilisée. 

Théorie n°4 : la prudence 

Les incertitudes ne sont pas transférées sur les années suivantes. Ils peuvent avoir des impacts négatifs sur le résultat et le capital de la société. L’établissement de la comptabilite exige une grande prudence.  

 

Théorie n°5 : l’invariabilité des méthodes

Ce principe comptable stipule qu’une même méthode doit être utilisée durant l’exploitation. Un changement est envisageable seulement pour des cas exceptionnels. 

  

Théorie °6 : l’importance relative

Les composants significatifs sont considérés et enregistrés. On peut mettre de côté les produits à faible importance.  

 

Théorie n°7 : la non compensation

Les constituants du bilan ne peuvent pas se compenser. En d’autres mots, les actifs et les passifs ne peuvent pas être fusionnés ou additionnés. 

Théorie n°8 : le bon renseignement 

Les documents doivent contenir des données significatives et complètes. 

 

Théorie n°9 : la prédominance de la réalité 

Les documents sont obligés d’être compréhensibles et leurs contenus doivent être relatifs aux opérations réalisées par la société. Lors de l’élaboration des documents la réalité prédomine l’apparence. L’état financier réel et la nature des opérations sont des paramètres importants. 

 

Théorie n°10 : l’intangibilité du bilan 

Le bilan ouverture présente les biens de la société à la fin de l’exercice précédente. Aucune modification n’est apportée à ce bilan.

 

 

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